A Péronne, l'étangs de Robécourt est le point de rencontre des pêcheurs mais surtout de la Cologne et de la Somme. La légende prétend que Louis XIV s'y soit baigné en face du Moulin Damay.
A Péronne, l'étangs de Robécourt est le point de rencontre des pêcheurs mais surtout de la Cologne et de la Somme. La légende prétend que Louis XIV s'y soit baigné en face du Moulin Damay.
L'Hôtel de Ville subit de lourds dégâts lors du siège de 1536 et fut reconstruit sur commande de François 1er, grâce à un crédit royal ; c'est pourquoi, on observe, au-dessus du corps de garde, des salamandres, animal choisi comme emblème royal par François 1er.
Ce bâtiment englobe l'ancien Hôtel de Ville (Façade Louis XVI, rue Saint-Sauveur) et l'ancien bailliage (bâtiment sur la place Louis Daudré). L'Hôtel de ville abrite aujourd'hui les locaux de la mairie, de la bibliothèque municipale et le Musée Alfred Danicourt.
Sur la place Louis Daudré, le bâtiment du bailliage est orné de trois arcades : A l'intérieur du fronton triangulaire, on retrouve Cérès, la déesse de l'agriculture. Ellle est entourée de croix de guerre : la croix de la Légion d'honneur remise pour sa défense en 1870 et la croix de guerre avec palme pour la bravoure pendant la Guerre de 1914-1918. Curieusement, ces décorations sont apposées à l'inverse de l'ordre chronologique et protocolaire.
Sur la rue Saint-Sauveur, la façade Louis XVI : Louis XVI a participé à la rénovation du bâtiment en 1783 ; cette façade est la seule partie qui ait échappé aux destructions de la Grande Guerre.
L'Hôtel de Ville subit de lourds dégâts lors du siège de 1536 et fut reconstruit sur commande de François 1er, grâce à un crédit royal ; c'est pourquoi, on observe, au-dessus du corps de garde, des salamandres, animal choisi comme emblème royal par François 1er.
Ce bâtiment englobe l'ancien Hôtel de Ville (Façade Louis XVI, rue Saint-Sauveur) et l'ancien bailliage (bâtiment sur la place Louis Daudré). L'Hôtel de ville abrite aujourd'hui les locaux de la mairie, de la bibliothèque municipale et le Musée Alfred Danicourt.
Sur la place Louis Daudré, le bâtiment du bailliage est orné de trois arcades : A l'intérieur du fronton triangulaire, on retrouve Cérès, la déesse de l'agriculture. Ellle est entourée de croix de guerre : la croix de la Légion d'honneur remise pour sa défense en 1870 et la croix de guerre avec palme pour la bravoure pendant la Guerre de 1914-1918. Curieusement, ces décorations sont apposées à l'inverse de l'ordre chronologique et protocolaire.
Sur la rue Saint-Sauveur, la façade Louis XVI : Louis XVI a participé à la rénovation du bâtiment en 1783 ; cette façade est la seule partie qui ait échappé aux destructions de la Grande Guerre.
Construite au début du XVIIème siècle, la Porte de Bretagne comprend deux pavillons rectangulaires, indépendants l'un de l'autre et laissant entre eux un espace ouvert.
Sur le pavillon extérieur, on remarque les armoiries de Péronne sculptées dans la pierre : le 'P' couronné, entouré des 3 fleurs de lys, confirmé par François 1er après le siège de 1536, et la devise 'URBS NESCIA VINCI' signifiant 'Ville jamais vaincue'. Sur le pavillon extérieur, face à la ville, outre la date de construction, un petit réduit abritait autrefois une statue de la vierge.
Le pont-levis permettait en cas de siège d'isoler la ville complètement. Ce système pourrait encore aujourd'hui être facilement remis en service.
Endommagée durant la Première Guerre Mondiale, la Porte de Bretagne a été restaurée et classée monument historique dès 1925. Elle se présente aujourd'hui telle qu'elle était à l'époque d'Henri IV.
Construite au début du XVIIème siècle, la Porte de Bretagne comprend deux pavillons rectangulaires, indépendants l'un de l'autre et laissant entre eux un espace ouvert.
Sur le pavillon extérieur, on remarque les armoiries de Péronne sculptées dans la pierre : le 'P' couronné, entouré des 3 fleurs de lys, confirmé par François 1er après le siège de 1536, et la devise 'URBS NESCIA VINCI' signifiant 'Ville jamais vaincue'. Sur le pavillon extérieur, face à la ville, outre la date de construction, un petit réduit abritait autrefois une statue de la vierge.
Le pont-levis permettait en cas de siège d'isoler la ville complètement. Ce système pourrait encore aujourd'hui être facilement remis en service.
Endommagée durant la Première Guerre Mondiale, la Porte de Bretagne a été restaurée et classée monument historique dès 1925. Elle se présente aujourd'hui telle qu'elle était à l'époque d'Henri IV.
Il fait partie d'un complexe de fortifications datant des XVIIIème et XIXème siècles. Ces murs constituaient les remparts d'un bastion avancé. En continuant jusqu'au bord de l'étang, vous apercevrez les vestiges du fort, légèrement enfoncés dans les eaux calmes de la Somme. Le fort tire son nom des ingénieurs Caraby, père et fils, ayant participé à l'aménagement des fortifications.
Il fait partie d'un complexe de fortifications datant des XVIIIème et XIXème siècles. Ces murs constituaient les remparts d'un bastion avancé. En continuant jusqu'au bord de l'étang, vous apercevrez les vestiges du fort, légèrement enfoncés dans les eaux calmes de la Somme. Le fort tire son nom des ingénieurs Caraby, père et fils, ayant participé à l'aménagement des fortifications.
La nature en Haute-Somme c'est aussi un héritage du labeur de nos ancêtres. Découvrez les 'hardines' !! c'est le nom donné aux jardins de la ville qui, autrefois, servaient à la production maraîchère. A Péronne, la principale production était le navet de 'Montesson', appelé également navet de Péronne. Ces hardines rappellent les hortillonages d'Amiens. Observer l'ensemble de ces parcelles découpées par des canaux régulièrement entretenus, ce qui en facilite l'irrigation.
La nature en Haute-Somme c'est aussi un héritage du labeur de nos ancêtres. Découvrez les 'hardines' !! c'est le nom donné aux jardins de la ville qui, autrefois, servaient à la production maraîchère. A Péronne, la principale production était le navet de 'Montesson', appelé également navet de Péronne. Ces hardines rappellent les hortillonages d'Amiens. Observer l'ensemble de ces parcelles découpées par des canaux régulièrement entretenus, ce qui en facilite l'irrigation.
Inauguré en 1926, il est l'oeuvre du sculpteur Paul Auban. Il représente une femme à genoux, le bras tendu vers l'horizon, pleurant sur un soldat étendu mort. Cette femme, en colère, nous dévoile l'inutilité de la guerre où tant d'hommes sont morts. Il est bordé de deu bas-reliefs en bronze. Devant le monuments aux Morts, une stèle dédié au Commandant Louis Daudré, victime, lui, de la Seconde Guerre Mondiale.
Inauguré en 1926, il est l'oeuvre du sculpteur Paul Auban. Il représente une femme à genoux, le bras tendu vers l'horizon, pleurant sur un soldat étendu mort. Cette femme, en colère, nous dévoile l'inutilité de la guerre où tant d'hommes sont morts. Il est bordé de deu bas-reliefs en bronze. Devant le monuments aux Morts, une stèle dédié au Commandant Louis Daudré, victime, lui, de la Seconde Guerre Mondiale.
Le musée est situé au deuxième étage de l'Hôtel de Ville. Inauguré en 1877 par son fondateur et mécène Alfred Danicourt, ancien maire de Péronne, archéologue amateur et grand collectionneur. Seul musée du département à être entièrement pillé puis détruit pendant la Première Guerre Mondiale : 98% de ses collections, sauf les collections numismatiques, sont perdus entre 1916 et 1918.
Le musée est situé au deuxième étage de l'Hôtel de Ville. Inauguré en 1877 par son fondateur et mécène Alfred Danicourt, ancien maire de Péronne, archéologue amateur et grand collectionneur. Seul musée du département à être entièrement pillé puis détruit pendant la Première Guerre Mondiale : 98% de ses collections, sauf les collections numismatiques, sont perdus entre 1916 et 1918.
Le musée et le mémorial rendent hommage aux soldats sud-africains qui connurent leur baptême du feu dans le bois Delville rebaptisé 'Devils'Wood', le bois du diable.
Le musée et le mémorial rendent hommage aux soldats sud-africains qui connurent leur baptême du feu dans le bois Delville rebaptisé 'Devils'Wood', le bois du diable.
Le cimetière de Rancourt est le plus grande nécropole française du département de la Somme. D'une superficie de 28 000 m2, 8566 soldats y reposent dont 3 223 dans l'ossuaire. La commune est une des rares à accuillir trois cimetières : français, britannique et allemand. A l'automne 1916, les soldats français épuisés, se heurtent contre le bois de Saint-Pierre-Vast. Parmi eux, sous-lieutenant au 94ème RI.
Sa famille, originaire de la région, érigea la Chapelle du Souvenir Français à la mémoire de ce fils et de ses camarades tués le 25 septembre 1916. Depuis le Souvenir Français gère l'animation du Mémorial.
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Le cimetière de Rancourt est le plus grande nécropole française du département de la Somme. D'une superficie de 28 000 m2, 8566 soldats y reposent dont 3 223 dans l'ossuaire. La commune est une des rares à accuillir trois cimetières : français, britannique et allemand. A l'automne 1916, les soldats français épuisés, se heurtent contre le bois de Saint-Pierre-Vast. Parmi eux, sous-lieutenant au 94ème RI.
Sa famille, originaire de la région, érigea la Chapelle du Souvenir Français à la mémoire de ce fils et de ses camarades tués le 25 septembre 1916. Depuis le Souvenir Français gère l'animation du Mémorial.
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